A pépito
« Oui j’ai quelques amertumes
accrochées à ma plume.» Dans le débat suscité par ton livre cette phrase ne manquera pas de faire consensus, Amertume ( à défaut
d’être une attaque ) envers la FSGT dont « les apôtres de
l’escalade populaire » utilisent « des expressions
savamment austères » et qui « ont excellé du côté des
bonnes idées . . . A perdre pied paradoxalement avec le terrain ! »
Amertume envers les universitaires en général ( et Gilles en
particulier ) envers le Cosiroc, envers ceux qui ont créé des
circuits mais ne les entretiennent pas, envers ceux qui les
entretiennent mais pas comme tu l’aurais fait . . .